Quand nous disons: « je », « moi », etc., a-t-on vraiment songé à quoi nous faisons implicitement référence ? Nous avons la certitude d'être d'abord et avant tout des êtres charnels, corporels. Hors, une étude minutieuse nous démontrera qu'il n'y a rien de moins sur !
Nous avons la fâcheuse tendance de nous identifier avec notre corps physique. Pourtant, qui pense sérieusement que si on l'ampute d'un membre, cela affecterait son identité profonde ? Que notre corps se fasse amputer un membre, notre identité, le « je », n'en demeure pas moins la même.
Nous serions peut-être tenté de croire que notre identité se confond avec nos émotions, nos sentiments. Pourtant, le seul fait d'éprouver un sentiment ou une émotion implique le fait que quelqu'un, le « je », ressente l'émotion...donc qu'il en est bel et bien distinct.
Pour les pensées c'est la même chose. Nous ne sommes pas nos pensées mais nous avons des pensées...la preuve qu'elles sont disctinctes de notre nature propre (identité) se trouve dans la possibilité que nous avons de les modifier, les changer, les remplacer, les interrompres lorsqu'elles se font trop bavardes.
Alors, qui sommes-nous donc ? Quand je dis « je »...qui dit cela ? La réponse est simple: l'identité d'une personne se trouve dans la conscience. D'ailleurs celui qui perd conscience ne dit plus « je ». Donc, notre être véritable est la conscience. Hors, la conscience n'est pas quelque chose de matériel...donc elle ne saurait en rien être affectée par le temps qui lui, affecte la matière...d'où en résulte le vieillissement et la mort.
En tant que conscience, l'être est par nature éternel et immortel. La conscience, dans son essence, est au-delà du temps et de l'espace. Si la conscience n'est pas matérielle, comment pourrait-elle se diviser ? Voilà une autre question qui nous amène à penser qu'il n'existe en fait qu'Une seule Conscience, intemporelle, universelle, omniprésente.
Nous avons la fâcheuse tendance de nous identifier avec notre corps physique. Pourtant, qui pense sérieusement que si on l'ampute d'un membre, cela affecterait son identité profonde ? Que notre corps se fasse amputer un membre, notre identité, le « je », n'en demeure pas moins la même.
Nous serions peut-être tenté de croire que notre identité se confond avec nos émotions, nos sentiments. Pourtant, le seul fait d'éprouver un sentiment ou une émotion implique le fait que quelqu'un, le « je », ressente l'émotion...donc qu'il en est bel et bien distinct.
Pour les pensées c'est la même chose. Nous ne sommes pas nos pensées mais nous avons des pensées...la preuve qu'elles sont disctinctes de notre nature propre (identité) se trouve dans la possibilité que nous avons de les modifier, les changer, les remplacer, les interrompres lorsqu'elles se font trop bavardes.
Alors, qui sommes-nous donc ? Quand je dis « je »...qui dit cela ? La réponse est simple: l'identité d'une personne se trouve dans la conscience. D'ailleurs celui qui perd conscience ne dit plus « je ». Donc, notre être véritable est la conscience. Hors, la conscience n'est pas quelque chose de matériel...donc elle ne saurait en rien être affectée par le temps qui lui, affecte la matière...d'où en résulte le vieillissement et la mort.
En tant que conscience, l'être est par nature éternel et immortel. La conscience, dans son essence, est au-delà du temps et de l'espace. Si la conscience n'est pas matérielle, comment pourrait-elle se diviser ? Voilà une autre question qui nous amène à penser qu'il n'existe en fait qu'Une seule Conscience, intemporelle, universelle, omniprésente.
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